mercredi, décembre 30, 2009

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Que ferait Jésus à Gaza?

Mon post sur "Jésus le musulman" a déchaîné les passions les plus stupides qu'on puisse imaginer. Or, ce post faisait simplement référence à la place de Jésus dans le Coran, place que tous ceux qui ont quelque notion d'histoire religieuse connaissent.


Le plus drôle, c'est de voir qu'apparemment certaines personnes comprennent le mot musulman comme ayant une signification ethnique ou ésotérique. Or, ce n'est pas le cas et musulman signifie simplement "soumis à Dieu." Et le Coran ne se veut rien d'autre qu'un rappel au monothéisme absolu, celui qui, toujours d'après le Coran, est la foi prêchée par tous les prophètes qu'ils se nomment Abraham (Ibrahim), Jacob (Ya'coub), Moïse (Moussa), David (Daoud), Salomon (Soulimane) ou encore Jésus (Aïssa). C'est dans cette tradition prophétique que s'inscrit précisément Muhammad, le messager de l'Islam.

Il y aurait beaucoup à dire, que ce soit d'un point de vue religieux ou profane, sur la place de l'islam et de l'Arabie dans cette histoire prophétique mais ceci n'est pas un blog dédié à la théologie, ni à l'histoire religieuse.

Bon, j'en profite pour vous faire connaître un autre article qui nous parle de Jésus, de manière beaucoup plus prosaïque car il s'agit d'un Jésus en quelque sorte impuissant, du fait de son absence ici-bas (à part dans le cœur de ceux qui croient en lui ou en sa mission) et que l'auteur appelle le président Obama à suppléer au nom tout à la fois de ses valeurs chrétiennes affichées et de son statut de dirigeant de la première puissance mondiale.

Publié dans Newsweek, donc un magazine très lu par les élites aux Etats Unis, cet article manifeste sans ambages l'agacement d'une frange sans doute substantielle de ces élites devant les atermoiements puis la quasi soumission du président Obama devant le régime sioniste et, mais ça notre journaliste ne peut pas le dire, devant le lobby sioniste aux Etats Unis.

Ce journaliste observe que le président, après des débuts en fanfare au Caire, semble se détourner de tout ce qui pourrait aller dans le sens d'une solution pacifique au conflit. Et notre journaliste met Obama devant sa propre contradiction; après avoir encouragé la résistance pacifique ou non violente à la place de l'action armée, voilà que la marche pacifique pour Gaza du 31 janvier offre une belle occasion à M. Obama de mettre en accord ses principes et son action. Et que le président ne la saisit pas, en encourageant comme il aurait pu le faire les autorités égyptiennes à faciliter les choses aux organisateurs de cette marche. Ceci dit, M. Obama peut-il ignorer que nombre de militants Palestiniens adeptes de la non violence croupissent dans les geôles sionistes s'ils ne sont pas parfois purement et simplement tués?

Personnellement, je vois dans cet article le pessimisme absolu d'une partie des élites des Etats Unis qui voient la puissance de leur pays s'affaiblir, au point d'être tenue en respect par un petit état voyou flanqué entre mer Méditerranée et mer Rouge; sans parler des guerres ruineuses dé^à en cours en Irak et en Afghanistan et celle peut-être à venir contre l'Iran.

A défaut de bonne année, je souhaite bon courage à nos amis Américains.


Que ferait Jésus à Gaza?

Obama parle d'amour du prochain tout en justifiant des guerres, mais au Moyen Orient, ni l'un ni l'autre ne fonctionnent
par Christopher Dickey, Newsweek (USA) 24 décembre 2009 traduit de l'anglais par Djazaïri

Il peut sembler hors de propos, même en cette veille de Noël, de nous demander ce que Jésus ferait en Terre Sainte aujourd'hui. Le réduit de Gaza, Jérusalem, la Judée et la Samarie sont des lieux où l'amour de Dieu a été supplanté depuis longtemps par la guerre pour la terre et la mauvaise volonté des hommes.Il y a maintenant un an,commençait la tentative sanglante et vaine d'Israël pour écraser le Hamas dans ce qui s'apparente à une prison géante pour un million de personnes. Les faiseurs de paix sont rarement heureux et souvent vilipendés, demandez seulement à l'envoyé spécial George Mitchell. Et la vérité rend rarement qui que ce soit libre comme l'a prouvé le rapport onusien basé sur les faits et rédigé par le juge Sudafricain Richard Goldstone qui a été dénigré à Washington et rejeté par Israël.

Mais étant donné que c'est Barack Obama qui est le président des Etats Unis, la question de Jésus a une pertinence aujourd'hui qu'elle n'aurait pas eu il y a un an. Non, Obama n'est pas le messie, ce n'est pas ce que je dis. Mais Obama a réellement employé le mot amour d'une manière que Jésus aurait comprise. Donc si la question de ce que jésus pourrait faire dans la Terre sainte d'aujourd'hui est toute théorique, la question de ce qu'Obama fera ne l'est pas. Et certaines de ses idées les plus chères sur la paix, l'amour et la compréhension mutuelle pourraient être mises à l'épreuve le 31 décembre, date à laquelle des militants espèrent mettre en branle une énorme marche de la liberté pour Gaza.
C'est précisément le genre de protestation qu'Obama appelait lui-même de ses vœux dans son adresse au monde musulman en juin dernier au Caire quand il avait dit que les Palestiniens devaient abandonner la violence et prendre exemple sur le mouvement des droits civiques aux Etats Unis, et sur d'autres luttes similaires par les peuples de l'Afrique du Sud à l'Asie du sud, de l'Europe orientale à l'Indonésie.

Un choix clair devrait s'opérer entre les politiques de terreur, d'occupation, le combat destructeur et le cynisme politique auxquels nous assistons depuis si longtemps de la part des dirigeants Palestiniens comme Israéliens, ou des politiques de désobéissance civile et de bon sens que souhaite Obama. Mais ne vous attendez-pas à entendre beaucoup parler de cette marche quand elle aura lieu, si même elle a lieu. L'Egypte et Israël pourraient rendre impossible la jonction entre les militants pour la paix et les marcheurs de Gaza. Il y a souvent des manifestations dans les territoires palestiniens, mais habituellement seul le sang attire l'attention des média et encore pas toujours.
La seule chance qu'une grande marche non violente ait un impact est qu'Obama lui-même en tienne compte. Mais depuis le Caire, il a été tenu en respect par les tenants de la ligne dure en Israël. Ainsi en juin, Obama a déclaré catégoriquement que les Etats Unis ne reconnaissaient pas la légitimité de la poursuite de la colonisation israélienne, ce qui semblait un acte de fermeté.Mais il a tôt fait de découvrir que le premier ministre Israélien Bibi Netanyahou ne se souciait pas vraiment de ce qu'Obama acceptait. Au terme d'un long bras de fer, Washington a finalement amadoué Netanyahou qui a annoncé un gel partiel temporaire de quelques quartiers d'habitations et maisons en Cisjordanie, mais la poursuite des projets publics et des constructions déjà engagés.

Oslo était une chance pour Obama de mettre les choses au point: soit il croit au pouvoir de la protestation non violente pour influer sur un avenir de paix au Moyen orient, soit il n'y croit pas.Mais alors qu'il lançait son appel aux Européens pour qu'ils dépêchent plus de troupes de l'OTAN pour la "guerre juste" en Afghanistan, il s'est complètement éloigné de son vieux thème sur le Moyen Orient. La conviction que la paix est désirable est rarement suffisante pour l'obtenir, a déclaré Obama. Un mouvement non violent n'aurait pas pu arrêter les armées d'Hitler. Des négociations ne peuvent pas convaincre les dirigeants d'al Qaïda de déposer les armes. Dire que le force peut être parfois nécessaire n'est pas un appel au cynisme - c'est une reconnaissance de l'histoire, des imperfections de l'homme et des limites de la raison.

C'est assez juste. Mais peu de conflits sont aussi évidents que la lutte contre les SS ou contre Oussama ben Laden.

Je me suis demandé quand Obama, cet admirateur de Gandhi et de Martin Luther King rendrait un hommage autre que verbal à leur grandeur en allant au fond de la question centrale pour la paix entre les Arabes et les Juifs. Dans les guerres contemporaines, beaucoup plus de civils que de soldats sont tués; les germes d'un futur conflit sont semés, les économies sont brisées, des sociétés civiles en lambeaux, des réfugiés entassés, des enfants effrayés, a-t-il dit à Oslo. Et ce n'est nulle part plus vrai qu'à Gaza. Mais Obama n'a pas mentionné Gaza.

Le président des Etats Unis a appelé toutes les nations, puissantes ou non, à se conformer aux normes internationales qui régissent l'usage de la force, mais sans aucune référence aux allégations très détaillées du rapport Goldstone ou autres qui accusent Israël et le Hamas d'avoir commis des crimes de guerre.

Je sais que discuter avec des régimes répressifs n'a pas la pureté satisfaisante de l'indignation, a déclaré Obama. Mais il parlait de l'Iran et de la Corée du Nord, de la Birmanie et du Zimbabwé. Il n'a pas dit que les Etats Unis devaient discuter avec le Hamas et il n'a pas encouragé les Israéliens à le faire.

Dans un passage retentissant, Obama a déclaré qu'aucune guerre sainte ne pouvait être une guerre juste. Car si vous croyez sincèrement que vous êtes porteur de la volonté divine, alors vous n'avez aucune raison de vous retenir, aucune raison d'épargner la femme enceinte, ou le médecin ou l'employé de la Croix Rouge, ni même une personne de votre propre religion. Une telle vision faussée de la religion n'est pas seulement incompatible avec l'idée de paix, mais je pense qu'elle est incompatible avec les buts mêmes de la foi - car la règle fondamentale de toutes les grandes religions est de se comporter avec autrui comme on voudrait qu'il se comporte avec nous. Mais Obama parlait-il des colons Israéliens extrémistes de Cisjordanie ou des forces israéliennes détruisant des usines, des fermes et des maisons à Gaza il y a un an? Ou du Hamas? Il n'a mentionné ni les uns ni l'autre.

Adhérer au principe de l'amour a toujours été le combat essentiel de la nature humaine, a déclaré Obama vers la fin de son discours, utilisant sans réserves ce mot qui est au cœur des Évangiles. Et Obama nous a appelés à tendre vers cette étincelle divine qui brille toujours dans l'âme de chacun. Mais sa seule référence spécifique au conflit en terre sainte qu'il a faite a été une remarque en passant que le conflit entre Arabes et Juifs semblait en train de se durcir.

Non, je ne sais pas ce que ferait Jésus, mais je sais ce qu'Obama devrait faire. Il peut faire sienne la plus importante conclusion du rapport Goldstone, qui est essentiellement un appel à Israël et au Hamas à s'engager dans un processus de vérité et de réconciliation similaire à celui qui a contribué à panser les blessures de l'apartheid. (Jusqu'à présent, le Département d'Etat a affirmé que le rapport était en réalité un obstacle à la paix). Et Obama devrait user de son autorité morale, tant qu'il en reste un peu, pour ouvrir la voie à la protestation pacifique à gaza au lieu de permettre à Israël et à l'Egypte de l'étouffer. Quand le président Obama a visité un Boys and Girls Club dans un Washington enneigé l'autre jour, il a dit aux enfants que ce que la naissance de l'enfant Jésus "symbolise pour des gens un peu partout dans le monde, c'est la possibilité de la paix et que des peuples se traitent les uns les autres avec respect." Il est temps qu'Obama travaille avec plus de force pour appliquer ce principe dans la partie du monde où l'enfant Jésus est né

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posted by Djazaïri at 10:31 PM

25 Comments:

Anonymous Anonyme said...

nous souhaitant aux americains et a leurs enfants de vivre la meme chose qu'a gaza pour l'annee 2010
amen

31 décembre 2009 à 08:30  
Blogger Djazaïri said...

On ne peut souhaiter à personne de vivre ce qu'ont subis les habitants de Gaza.

31 décembre 2009 à 09:48  
Anonymous Anonyme said...

mon cher mounadil.
comme on dit chez nous.ne sent la brulure de la braise que celui qui a le pied dessus.j'en aurais aucun etat d'ame si les ricains et leurs coalises et le lob qui n'existe pas je dirais meme je leur souhaite de vivre le martyr que subit les gazouis.votre billet ci-dessus resume toute la crasse de ces pays dit democrates qui assistent et encourage le chien egyptien a constyruire un mur pour les affamer un peu plus.le mur de berlin est tombe mais quatre autres se sont cpnstruit pour le meme objectif inavoue.
un mur au states,un mur au maroc,un mur en israel et le nouveau nee en egypte.
democratie a la kouchner et bhl et l'autre a la coupe mireille mathieux.

31 décembre 2009 à 10:23  
Blogger Djazaïri said...

D'une manière générale les peuples veulent la paix. Il est par contre possible de les conditionner pour qu'ils désirent le conflit voulu par les dirigeants. Ce consensus ne tient habituellement que quand les conséquences atroces de la guerre ne se font pas trop sentir chez soi. La vente des guerres aux citoyens des USA et d'Europe passe par ce schéma. Or, une guerre a toujours des conséquences chez soi comme les Américains éclairés le voient: si le prix du sang n'est pas trop élevé, par contre l'économie des Etats Unis est en crise et ce pays est devenu le débiteur de la Chine. Ce qui ne manquera pas d'avoir des conséquences politiques. C'est le genre de situation souvent connu par les empires en phase de déclin. L'agressivité militaire remplace la performance économique.

31 décembre 2009 à 11:36  
Anonymous Anonyme said...

bonjour djazaîri ,

personellement je ne suis pas du tout croyant et je pense que se basé sur des textes anciens , remanié tout au long de l'histoire par les puissants , ne font pas avancer les choses . Evidement que la situation a gaza est honteuse mais il me semble que la france aide au blocus de gaza via une ou des frégates en méditerranée . Malgré tous , nous sommes français ,nous collaborons en payant nos impots ! donc que faire ? ne plus payer ? boycoter israel ? boycoter les soutiens d'israel au risque de se voir qualifier d'antisémites ? boycoter les journalistes qui ont " choisi " leur camp ou leur interet de carrière ? ne crois tu pas que le monde arabe est le premier fautif ou tout du moins l'élite arabe , en nous vendant leur pétrole au lieu de s'en servir pour défendre leurs freres musulmans ou leur freres humains ? Je pense que le conflit s'arretera peut etre , si les pays membres de l' opep boycotent les pays qui aide au blocus de gaza .
en ce qui concerne la france , on peut dire qu'elle est occupée depuis 30 ans par un gouvernement qui nous ruinent avec des taxes et des débats d'il y a 20 ans ( identité national, réchaufement climatique ) le probleme pour nous cest ça , seul un coup d'état du peuple et de l'armée ( qui est avant tout au service du peuple français avant de servir l'otan )pourrait nous aidé a reprendre notre pays de la bourgoisie 68arde . ensuite on pourra s'occuper de politique etrangères , pour l'instant il faut résister chez nous.

mes respects

31 décembre 2009 à 11:49  
Blogger Djazaïri said...

Se référer aux textes sacrés anciens n'est pas forcément nécessaire. Il importe cependant de les connaître autant que possible pour savoir de quoi les uns et les autres parlent quand ils s'y réfèrent. La question éque faire?" est fondamentale et la réponse varie en fonction de sa propre situation. En tout état de cause, il convient de résister et la première forme de résistance, c'est la résistance par la pensée et la parole. Pour ce qui est de la forme du combat proprement dit, à chacun la sienne: diffusion d'informations, manifestations, boycott pour les uns, résistance non violente ou armée pour les autres; cela dépend des circonstances et des lieux. Il faut comprendre que toutes les luttes pour la justice sont d'une certaine manière interdépendantes: lutter pour la justice sociale en France, sur la question des retraites par exemple, n'est pas sans lien avec les luttes menées ailleurs pour la justice. Car un Etat qui privilégie règles de droit et justice chez lui aura tendance à les promouvoir ailleurs. Vous remarquerez que ce sont les démocraties libérales qui ont opté pour la dérégulation économique et la concurrence à tout va qui font la preuve de la plus grande agressivité militaire: quand on privilégie l'exploitation et la marginalisation chez soi, on le fait forcément dans le cadre de sa politique étrangère. Les régimes arabes portent certes une lourde responsabilité, j'en suis d'accord. On remarquera simplement le rôle peu évoqué des dictatures amies de l'Occident dans cet état de fait: Egypte et, surtout, Arabie Séoudite. Il est d'ailleurs curieux de remarquer que les mêms qui stigmatisent Ahmadinedjad, régulièrement élu jusqu'à preuve du contraire, ne pipent pas mot sur l'Egypte ou un régime aussi obscène que le régime séoudien.

31 décembre 2009 à 12:39  
Anonymous Anonyme said...

"Malgré tous , nous sommes français '


en effet ... puisque vous le dites ...vous appréciez surement la choucroute de Strasbourg , le vin du Beaujolais, les branle-landais et la chasse au sanglier ...

me trompé-je ??

31 décembre 2009 à 12:54  
Blogger Djazaïri said...

@ anonyme et la choucroute. Tout ce qui vous reste, chers amis sionistes, c'est l'insulte et la bassesse. Vous êtes bien à l'image de votre entité et vous finirez avec elle dans un cul de basse fosse.

31 décembre 2009 à 13:21  
Anonymous Anonyme said...

a anonyme et la choucroute , si boire du beaujolais , manger de la saucisse de strasbourg et allez a la chasse le dimanche , c'est etre français pour vous , pour moi c'est le sommaire du 13 h sur TF1 .
Regarder par votre fenetre et compter en une journée combien d'homme passe avec un beret et une baguette sous la bras pour voir si vos clichés sont toujours d'actualité !

31 décembre 2009 à 13:53  
Anonymous Anonyme said...

ou y a t il insulte Djazairi ??

ou y a-t-il bassesse ??

allons allons ne soyez pas d'une sensibilité exacerbée...je dirais maladive ...presquer Juive ...

a moins que vous ne vous sentiez visé ??

c'est bon la choucroute au lard

vous devriez essayer, car vous etes vous aussi ...Français

l'intégration est toujours culinaire ,vous ne croyez pas??

nous avons fait un bon accueil au couscous ,pourquoi ne tateriez vous pas de la potée auvergnate, arrosée d' un bon cotes du Rhone casher ??

31 décembre 2009 à 20:57  
Blogger Djazaïri said...

Ceux que vous insultez, ce sont les Français que vous résumez en une image grossière. Parce qu'après tout vous auriez pu parler de Marcel Pagnol, de Jean Ferrat ou de la dictée de Bernard Pivot.
Mais chez les sionistes, il y a comme une inclination naturelle à la bassesse.

31 décembre 2009 à 21:25  
Anonymous Anonyme said...

Si Jésus serait à Gaza il serait incontestablement aux coté des Palestiniens,musulmans,chrétiens,juifs qui souffrent.Nous nous sommes toujours demandé pourquoi les sionistes detestent tout le monde.Grace à Jésus,maintenant on sait pourquoi.

31 décembre 2009 à 21:41  
Blogger Oumelkheir said...

"Le plus drôle, c'est de voir qu'apparemment certaines personnes comprennent le mot musulman comme ayant une signification ethnique ou ésotérique. Or, ce n'est pas le cas et musulman signifie simplement "soumis à Dieu." Et le Coran ne se veut rien d'autre qu'un rappel au monothéisme absolu, celui qui, toujours d'après le Coran, est la foi prêchée par tous les prophètes qu'ils se nomment Abraham (Ibrahim), Jacob (Ya'coub), Moïse (Moussa), David (Daoud), Salomon (Soulimane) ou encore Jésus (Aïssa). C'est dans cette tradition prophétique que s'inscrit précisément Muhammad, le messager de l'Islam".
Tout à fait mon cher Mounadil, preuve en est de nombreux versets du Coran, dont celui-là, verset 67 de Sourate Al Imran (la sourate 3):"Abraham n'était ni Juif ni Chrétien. Il était entièrement soumis à Dieu (Musulman). Et il n'était point du nombre des Associateurs..".
Ou alors celui-là, le verset 133 de Sourate Al Baqara (la sourate 2) : "Etiez-vous témoins quand la mort se présenta à Jacob et qu'il dit à ses fils : "Qu'adorerez-vous après moi" ? - Ils répondirent : "Nous adorerons ta divinité et la divinité de tes pères, Abraham, Ismaël et Isaac, Divinité Unique et à laquelle nous sommes Soumis".

1 janvier 2010 à 08:50  
Anonymous Anonyme said...

"il y a comme une inclination naturelle à la bassesse."

exact! surtout dans ce regard que nous portons sur vous... tete penchée vers le bas

1 janvier 2010 à 10:59  
Blogger Djazaïri said...

On voit bien que les sionistes ont un peu de mal avec la langue de Molière. Le mot bassesse ne caractérise en aucun cas le degré d'inclination du regard mais sa nature, c'est-à-dire son caractère vil et vicieux. "Inclination à la bassesse" signifie tendance à être vil et vicieux.
C'est bien que ce nouvel an vous ait amené à admettre votre caractère vil et bas.

1 janvier 2010 à 12:25  
Anonymous Anonyme said...

non !!

tu es sérieux ??

tu ne déconnes pas ??

mais quel age tu as pour imaginer une seconde ce que tu viens d' écrire

et si tu es vraiment sérieux, c'est que j' ai affaire a un sombre crétin

alors si tu ne me prposes pas d' accepter tes excuses a propos de ta disrtation laborieuse sur "bassesse" je te laisses tomber comme une vieille savate

la maitrise de la Laongue de Molière!!

on aura tout lu chez ce bonhomme!!

sais tu au moins que Molière avait de l' humour??

chose dont tu sembles trés tristement dépourvu

les bras m' en tombent devant ta réponse pitoyable ou plutot pathétique

1 janvier 2010 à 15:37  
Anonymous Anonyme said...

Mounadil

toi le futur académicien

" le degré d'inclination "

hahahaha!!


non mon brave besogneux, il vaut mieux parler d' inclinaison

parce que toi tu es vraiment l' incarnation de la fatuité

1 janvier 2010 à 15:39  
Blogger Djazaïri said...

Mais pauvre crétin de Sion, l'expression "degré d'inclination" est correcte même si elle est moins usitée que "degré d'inclinaison". Demande au Père Noël un dictionnaire avec plus de cent mots, ça t'aidera à progresser.

1 janvier 2010 à 15:53  
Blogger Djazaïri said...

Molière était surtout pessimiste à propos de la nature humaine; c'est cette vision qu'il manifestait dans ses pièces comiques (et pas humoristiques).
A te lire, on voit que son pessimisme était entièrement justifié.

1 janvier 2010 à 15:56  
Anonymous So crade said...

dire que tu serais dans l' enseignement .....

hé bé nos chères tetes blondes sont bien barrées avec toi

les étrangers ont maintenant le droit d' enseigner en France

éclaires moi de ta lanterne Ô Diogène des banlieues

5 janvier 2010 à 12:57  
Blogger Djazaïri said...

Ta lanterne? Tu veux dire là où tu vas te pendre?

5 janvier 2010 à 13:48  
Anonymous So crade said...

bof!! le pseudo-aristo c'est toi Mounadil

et la "Lanterne" ...les aristos...le journal ...le réverbère

bon je ne vais pas t'expliquer l' histoire de MON pays

mais toi l 'enseignant algérien pourquoi tu ne nous fais jamais profiter de l' histoire de TON paysl' Algérie ??

c'est bien toi qui revendiques ton algérianité "un algérien de Vénissieux"

non ??

tu enseignes déjà la Charia

a moins que tu n' aies adopté la nationalité de ton épouse, histoire de faire les repères au paumé que tu es ??

bref...

tu es loin d' etre estimable
tu n' es meme pas honorable!!

dés qu'on te clot le bec tu redeviens la fange que tu n' as jamais cessé d' etre

tels parents tel fils

5 janvier 2010 à 15:03  
Blogger Djazaïri said...

Tu l'as redit bouffi radoteur. Avec les sionistes, c'est vraiment l'hôpital qui se fout de la charité.

5 janvier 2010 à 15:29  
Anonymous Anonyme said...

hahahahahahahahaha!!

t'as l' esprit (hum...) un peu épais toi !!

un petit tour a Tel Aviv te décongestionnerait

5 janvier 2010 à 19:03  
Blogger Djazaïri said...

Oui, c'est là que tu t'es fait déboucher le colon.

5 janvier 2010 à 20:23  

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