Sam Bacile, l'islamophobe sioniste et la mort de l'ambassadeur des Etats Unis en Libye
Les
émeutes de Benghazi en Libye ont coûté la vie à l’ambassadeur des Etats Unis
dans ce pays ainsi qu’à trois autres fonctionnaires américains.
Un
évènement hautement symbolique qui nous permet d’abord de constater que dans la
Libye «libérée,» l’ambassadeur des Etats Unis restait stationné à Benghazi et
non dans la capitale où le nouveau régime a du mal à s’imposer.
Et
ensuite que quatre diplomates américains sont mort au cours d’émeutes motivées
par un film anti-musulman réalisé par un ressortissant de l’entité sioniste qui
jouirait aussi de la citoyenneté américaine et réside en Californie où il exerce
la profession de promoteur immobilier.
Quel
rapport entre l’immobilier et le cinéma ?
Aucun.
Il y a
par contre un rapport entre le fait d’être un sioniste fanatique (ce qui est le
cas de la majorité des sionistes) et celui d’inciter à la haine et à la guerre
des civilisations.
Et ça n’a
rien à voir avec la liberté d’expression, mais avec une stratégie consciente au
service de l’entité sioniste. Et de fait, ces attaques répétées contre l’Islam
sont presque toujours le fait des suppôts du sionisme ou soutenues par les
intellectuels emblématiques du sionisme.
Ce
promoteur immobilier, qui a des connexions avec des «chrétiens» extrémistes
comme le pasteur Terry Jones a quand même pu réunir les cinq millions de
dollars qu’a coûté son film auprès d’une centaine de bailleurs de fonds juifs.
De fait, Bacile
De fait, Bacile
se définit lui-même comme comme un Juif Israélien [et pas comme un Juif Américain, note de Djazaïri], déclare avoir la conviction que le film va aider son pays d'origine en montrant au monde les tares de l'Islam.
"L'islam est un cancer, point final," répète-t-il d'une voix solennelle avec un fort accent.
Effectivement, pour un certain nombre d'organes de presse, Sam Bacile n'est pas un américano-sioniste, mais un citoyen sioniste qui réside aux Etats Unis, nuance
Si «l’islam
est un cancer, » comme le prétend ce promoteur/réalisateur de cinéma, on a
bien compris quelle maladie infectieuse véhicule ce triste individu nommé «Bacile,»
ça ne s’invente pas.
Je ne
sais pas si le journal Le Monde va garder le titre de son article.Ne risque-t-il pas, en effet, d'’être attaqué pour antisémitisme?
En attendant, quatre fonctionnaires américains viennent de faire les frais de l'amour vache que portent les sionistes aux Etats Unis.
NB: .
Le Monde.fr avec AFP | 12.09.2012
Le film Innocence of Muslims (L'Innocence des
musulmans) à l'origine des violentes manifestations anti-américaines, mardi 11
septembre en Egypte et en Libye et qui ont fait au moins un mort, a été réalisé
et produit par Sam Bacile, un promoteur immobilier israélo-américain de 54 ans
originaire du sud de la Californie, rapporte le Wall Street Journal .
"L'islam est un cancer", a déclaré
Sam Bacile au WSJ après que des manifestants protestant contre son film se sont
introduits dans l'ambassade américaine au Caire, où ils ont notamment arraché
un drapeau américain. A Benghazi, en Libye, de violentes manifestations, elles
aussi suscitées par ce film, près du consulat américain ont fait au moins un
mort, un fonctionnaire américain.
Sam Bacile a expliqué au WSJ qu'il était bien
à l'origine du film en question, soulignant avoir levé cinq millions de dollars auprès d'une
centaine de donateurs juifs, qu'il n'a pas identifiés, pour le financer . Il
assure avoir travaillé avec 60 acteurs
et une équipe de 45 personnes pour tourner
le film en trois mois l'an dernier en Californie. "C'est un film
politique, ce n'est pas un film religieux", déclare-t-il au quotidien.
Dimanche, le grand mufti égyptien Ali Gomaa
avait dénoncé "les actions entreprises par des extrémistes coptes qui ont
fait un film offensant le Prophète".
Le long métrage a été défendu par le
pasteur Terry Jones, qui s'est attiré de
nombreuses critiques par le passé, notamment pour avoir brûlé un exemplaire du Coran et s'être résolument
opposé à la construction d'une mosquée près de Ground Zero à New York.
Le pasteur a précisé qu'il comptait
montrer un extrait de 13 minutes du
film, mardi soir, dans son église de Gainesville, en Floride. "C'est une
production américaine, qui n'a pas pour objectif d'attaquer les musulmans mais de montrer l'idéologie destructrice de l'islam",
explique-t-il dans un communiqué publié par le WSJ.
Libellés : Benghazi, entité sioniste, Etats Unis, Islam, islamophobie, Libye, Sam Bacile, sionisme, Tripoli
1 Comments:
Comme d'habitude on constate que le torchon d'EL WATAN financé par la Banque Rotschild ne souffle aucun mot puisque ce quotidien et l'ensemble de ses jounaleux sont islamophobes !
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