Liam Fox, un ministre de la défense qui facilite la fuite de technologies au profit du Mossad
En préambule, je précise pour les lecteurs sionistes, dont Philippe le bel abruti,que c'est par pur antisémitisme que MM. Liam Fox et Adam Werritty ont trahi la Grande Bretagne en se confiant au Mossad et que M. Werritty a accepté de l'argent de généreux donateurs dont la principale préoccupation est de soutenir l'entité sioniste.
Ils doivent être condamnés non seulement pour haute trahison mais aussi pour avoir soutiré de l'argent à des millionnaires sur la base du simple fait que ces derniers étaient Juifs. Ce qu'on appelle de l'antisémitisme aggravé et qui nous rappelle l'entreprise de spoliation des juifs par la France de Vichy.
Ceci dit,je pense que c’est le dernier post que je ferai sur l’affaire Liam Fox – Adam Werritty. Cette affaire d’une gravité extrême pour le Royaume Uni fait couler beaucoup d’encre dans ce pays où la presse semble insister sur les liens de ce couple singulier avec le Mossad, soit directement, comme lors de cette rencontre avec Meir Dagan le chef de ce service secret, soit par l’intermédiaires d’officines et de ‘généreux’ sponsors qui agissent dans le sens de leur fidélité unique qui va au sionisme, et à rien d’autre.
Le Daily Mail nous propose un article axé d’abord sur la façon dont le dirigeant d’une société de capital risque orientée vers le développement et la commercialisation d’applications issues des laboratoires militaires britanniques a été grugé par le tandem Liam Fox – Adam Werritty et a donné des informations sensibles qui sont maintenant sur les bureaux des agents du Mossad.
Mais je vous rassure, cette affaire ne servira de leçon ni en Grande Bretagne ni dans aucun des pays qui croient avoir l’amitié du régime sioniste. La propagande sioniste va probablement sinon réussir à étouffer cette affaire, du moins à réduire sa portée et à la précipiter au plus vite dans l’oubli. Une enquête interne conclut d’ailleurs à une entorse à l’éthique, un conflit d’intérêts mais dans enrichissement personnel. Alors qu’il s’agit d’un problème d’indépendance et de sécurité nationales, on croit rêver…
D’autant qu’en Grande Bretagne, les conservateurs comme leurs pseudo opposants travaillistes picorent dans la même main.
Voyez comment aux Etats Unis, malgré l‘affaire Pollard et d’autres à peine moins graves, on continue à clamer haut et fort le lien « unbreakable » avec les sionistes. Certes, ces gouvernements occidentaux sont tenus par une laisse dont ils ne sont pas près de se défaire.
Et s’ils vendent ma technologie à mes ennemis ?
Par David Rose, The Daily Mail (UK) 16 octobre 2011 traduit de l’anglais par Djazaïri
Adam Werritty s’s servi de ses relations avec Liam Fox pour obtenir les détails techniques hautement sensibles d’un système de communications utilisé par les forces spéciales de la coalition en Afghanistan.
Harvey Boulter, un investisseur en capital-rique établi à Dubaï a déclaré n’avoir révélé des informations sur le système seulement parce que M. Werritty lui avait affirmé être un conseiller officiel au ministère de la défense.
M. Boulter explique: ‘Je pensais qu’il répondait aux exigences de sécurité.’
En fait, M. Werritty n’avait satisfait à aucune procédure d’habilitation de sécurité.
‘‘Nous n’avons le droit de vendre cette technologie qu’à des clients ou des gouvernements qui ont été agréés. Permettre qu’elles tombent entre de mauvaises mains pourrait donc nuire à notre sécurité nationale.’
M. Boulter affirme que les informations qu’il a fournies à M. Werritty pendant des rencontres à Dubaï et dans toute une série de courriels qui s’en sont ensuivis, que le Mail on Sunday a pu obtenir, avait aussi une importante valeur commerciale en cas de fuite vers la concurrence. La valeur de sa technologie et celle de son t’entreprise s’en trouveraient réduites.
Il existe des preuves des liens étroits entre les principaux appuis financiers de M. Werritty et Israël – un pays doté d’une puissante industrie de haute technologie avec des firmes spécialisées dans les télécommunications et la sécurité.
‘‘Je m’exprime au conditionnel,’ explique M. Boulter, mais les Israéliens sont connus pour être bons dans la rétro-ingénierie de la technologie produite par d’autres Que ferions-nous sur une entreprise israélienne commençait à pirater notre technologie ou à la vendre à nos ennemis ?’
M. Boulter est responsable exécutif de Porton Group qui est spécialisé dans le financement d’entreprises qui développent des applications civiles pour des technologies innovantes issues des laboratoires étatiques. Il s’exprimait après de nouvelles révélations sur le financement des luxueux voyages de M. Werritty.
Un réseau de bailleurs de fonds visible et invisibles, certains étroitement lies à Israël, est révélé par les relevés bancaires de Pargav Ltd, une compagnie qui n’a pas fait grand-chose d’autres que de dépenser 150 000 £ en un an pour payer à M. Werritty des vols en première classe, des hôtels et des soirées dans des strip clubs newyorkais
Parmi les bailleurs de fonds, se trouve Poju Zabludowicz, president du groupe de pression pro israélien Britain Israeli Communication Research Centre (BICOM) et le millionnaire Michael Lewis, ancien vice président de BICOM.
Outre ces subsides venant d’eux et d’autres sources identifiées, Pargav a reçu près de 13 000 £ en argent liquide versé anonymement.
‘Ces nouvelles révélations soulèvent de nouvelles questions qui demandent des réponses précises’, déclare M. Boulter. ‘Je crains que des informations sensibles puissent avoir été mises en péril. Si vous étiez pris à vous faire passer pour un policier, vous iriez en prison. Werritty s’est fait prendre à se faire passer pour un conseiller du ministère de la défense. Les conséquences devraient être beaucoup plus graves.’
M. Boulter a rencontré M. Werritty pour la première fois début avril, sur la recommandation de Lee Petar – un autre ancien officiel de BICOM.
M. Boulter rémunérait Tetra, l’entreprise de M. Petar, pour le conseiller en matière de lobbying et de relations publiques dans le cadre d’un conflit juridique avec le géant US 3M.
3M avait acheté une société financée par Porton qui commercialisait une méthode mise au point par des chercheurs du ministère de la défense pour détecter la superbactérie SARM beaucoup plus vite qu’avant, mais avait abruptement décidé de fermer l’entrerprise.
Mais quand M. Boulter a rencontré M. Werritty, ils ont aussi discuté de Cellcrypt, une autre entreprise financée par Porton qui produit une application pour ‘smartphone’ permettant aux utilisateurs de crypter leurs appels téléphoniques selon un procédé presque impossible à décoder. En plus des forces spéciales occidentales en Afghanistan, les utilsateurs actuels comprennent des services de sécurité et de renseignements.
C’est alors que M. Werritty lui a présenté sa carte professionnelle mentionnant qu’il était conseiller de Liam Fox.
‘j’ai donné des informations très sensible sur cette technologie’, déclare M. Boulter.
‘A part les implications en matière de sécurité; comment puis-je être sûr que ces informations sont protégées de compagnies qui pourraient être des concurrentes ?’
Entre avril et le 17 juin, quand M. Boultr a rencontré à nouveau M. Werritty à l’hôtel Shangri-La de Dubaï, cette fois avec Liam Fox, tous deux avaient échangé de nombreux courriels. Dès le 7 avril, M. Werritty avait dit avoir parlé avec M. Fox et lui avoir expliqué la dynamique ici’ et espéré pouvoir rencontrer les collègues de M. Boulter à Cellcrypt ‘pour une discussion élargie.’
Parmi les propositions de M. Boulter, un projet de livrer gratuitement l’application qui coûte normalement 1 000 £ aux soldats Britanniques en Afghanistan. Dans un autre message, daté du 4 mai, M. Werritty avait promis avoir transmis les informations et les emails de M. Boulter à Luke Coffey, un Américain qui était le conseiller spécial officiel de Liam Fox. Il lui avait aussi donné sa ligne téléphonique directe en lui disant : ‘Envoyez lui un email pour vous présenter vous-même… je pousserai volontiers plus loin si nécessaire.’
Lors de la rencontre du 17 juin, M. Boulter a une fois de plus divulgué des informations sensibles. Aucun fonctionnaire du ministère de la défense n’était présent – une apparente entorse aux pratiques en vigueur au ministère. M. Boulter a ensuite écrit à M. Werritty pour le remercier d’avoir organisé la rencontre, précisant : ‘j’ai beaucoup apprécié le style du Dr Fox, tourné vers le résultat.’
M. Werritty avait répondu: ‘Il est comme ça et c’est pourquoi j’aime travailler avec lui. Il n’aime pas la bureaucratie.’
M. Boulter a déclaré hier soir: ‘Pour moi, Fox est fautif parce qu’il a donné son aval à cette relation. Lui et Werritty étaient assis côte à côte et implicitement, Fox donnait son approbation. Il n’avait pas besoin de dire qu’il était son conseiller, parce qu’il me l’a dit par son comportement. J’espère seulement qu’il y a plus de peur que de mal.’
Le lien avec le gouvernement israélien
Adam Werrity a des liens étroits ave c un groupe de pression base à Londres dont l’ancien directeur exécutif a exercé de hautes responsabilités dans le gouvernement israélien.
Les membres du Britain Israeli Communication Research Centre ont contribute à des fonds qui ont permis au soi-disant conseiller de Liam Fox de suivre le ministre de la défense dans des dizaines de voyages à l’étranger où il participait à des rencontres sensibles.
Jusqu’en juillet 2006, Danny Scheck, un ancien haut responsable du ministère israélien des affaires étrangères – devenu par la suite ambassadeur de ce pays à paris – a été le patron de BICOM au Royaume Uni. Les liens étroits entre le gouvernement israélien et BICOM ont soulevé des inquiétudes sur une influence exercée à son insu sur M. Werritty par le Mossad, le service secret israélien.
Des spécialistes du renseignement considèrent que la présence de M. Werritty à des rencontres a pu permettre à Israël de suivre les derniers développements de la technologie britannique. Elle a pu aussi permettre aux Israéliens de découvrir à l’avance les détails de contrats d’armement convenus entre la Grande Bretagne et des pays arabes.
M. Scheck a été ambassadeur d’Israël en France de 2008 à 2010 et on pense qu’il a ensuite repris de hautes fonctions au ministère israélien des affaires étrangères. Il avait été auparavant directeur du service de presse du ministère.
BICOM a aussi finance la présence en 2009 de M. Werritty à une conférence de haut niveau sur la sécurité à Herzliya en Israël, à laquelle participait aussi le Dr Fox. L’organisation avait réglé le vol aller-retour et l’hébergement de M. Werritty.
En février de cette année, M. Werritty et le Dr Fox étaient à nouveau conviés à cette même conférence qui promeut des causes juives. M. Werritty avait organisé et participé à un dîner avec le Dr Fox, l’ambassadeur Britannique Matthew Gould et des politiciens Israéliens.
Un des plus gros contributeurs aux compagnies de M. Werritty est le président de BICOM, le milliardaire Poju Zabludowicz dont on sait qu’il a fait des dons à pargav, la plus récente des compagnies créées par le ‘conseiller’ pour financer ses activités.
L’homme d’affaires Michael lewis, qui dirige la chaîne de magasins de prêt-à-porter Foschini, était il y a quatre ans, vice président de BICOM. Le mail on Sunday a appris qu’il a finance les trois compagnies et organismes à but non lucratif de [charities] de M. Werritty.
A la question de savoir si BICOM est lié au Mossad, un porte parole a déclaré: ‘BICOM ne reçoit aucun financement d’aucun gouvernement ou service étranger.’
Libellés : Adam Werritty, BICOM, Danny Scheck, Grande Bretagne, Liam Fox, lobby sioniste, Michael Lewis, Mossad, Poju Zabludowicz, sionisme
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