Les précautions à prendre avant d'arrêter un terroriste sioniste, ou comment Scotland Yard a laissé fuir un général sioniste
Cette plainte, nous informe ISM-France, avait été déclarée recevable par un magistrat britannique qui avait émis un mandat d’arrêt à l’encontre de Doron Almog pour suspicion d'avoir commis une grave violation la IVème Convention de Genève de 1949 (qui constitue un crime en Grande Bretagne aux termes d'une loi de transcription adoptée par la Grande-Bretagne en 1957, le Geneva Conventions Act).
Dans le même article, ISM-France explique que le voyou galonné après avoir passé un moment dans la zone de transit avait pris un vol retour pour l’entité sioniste après avoir appris qu’il risquait d’être interpellé et probablement jugé pour ses crimes.
Aujourd’hui on en sait plus sur ce qui s’est passé et ce qui a permis la fuite du général gangster. Le journal The Guardian daté du 19 février 2008 rapporte que :
The Guardian nous apprend comment le général sioniste a été informé qu’il était en passe d’être arrêté par la police britannique :
Des diplomates Israéliens avaient été informés après le décollage d’Israël de l’avion d’Almog le 11 septembre 2005. Dès son arrivée à Londres, un attaché militaire de l’ambassade israélienne se rendit dans l’appareil pour avertir Almog de rester à bord. Il refusa de débarquer de l’avion en attendant son redécollage pour Israël deux heures plus tard.
Trop compliqué pour des policiers anti terroristes?
Mais il y a plus grave encore dans cette affaire
Le document révèle qu’avant l’arrestation prévue,
Scotland Yard avait consulté la police de West Midlands [région où se trouve une forte communauté juive] et une unité de police spécialisée nommée the national Communities Tensions Team, pour avis au sujet des réactions dans la communauté juive. Un “partenaire de confiance” de la police, un contact juif, fit également des démarches pour trouver un avocat pour Almog et lever des fonds pour une libération sous caution. Le document indique que les démarches avaient été faites “avec discrétion” sans mentionner le nom d’Almog.
il était évident que les démarches portaient sur Almog :”Si vous faites des démarches de ce genre, il est facile à n’importe qui de mettre les éléments bout à bout et d’en déduire que les démarches avaient à voir avec Almog.”
En conclusion, une petite recommandation à la police de M. Sarkozy. Pourquoi ne pas suivre l’exemple de Scotland Yard en sondant sa communauté d’origine avant d’arrêter un délinquant? (sans toutefois se limiter à une seule communauté comme nos amis Britanniques)
2 Comments:
Si ça avait été un arabe à la place du sioniste ils auraient débarqué dans l'avion et auraient tué 30 civils pour attraper le "terroriste". Mais comme là c'est un de leur collègue c'est pas pareil. Oui je dis collègue puisque tous nos gouvernants et les agences officielles bossent pour Rostschild donc Israel, forcément y'a conflit d'intéret, donc ils ont piétiné sur place jusqu'à ce qu'il parte. La chasse au terroriste est juste une chasse aux ennemis d'Israel le pays des connards.
Par les couilles vermoulues du prophete
pedophile!quelle histoire!
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