Otage littéraire de la famille de Gilad Shalit pour cause de plagiat
Le caporal Shalit accusé de plagiat par une auteure de livres pour enfants. C'est ce que vous pourrez lire dans l'article ci-dessous tiré du journal anglais The Independent.
Le récit incriminé aurait été écrit par le caporal, le plus célèbre des Français servant une armée étrangère, alors qu'il avait onze ans et il semble être calqué d'un livre pour enfants à succès.
Difficile donc de parler de plagiat dès lors qu'il s'agit d'une adaptation par un enfant d'un texte bien connu des jeunes de son âge; d'autant que le récit écrit par le caporal Gilad Shalit n'avait aucune vocation à être publié un jour.
Pourtant il a été publié, devenant un succès international et rapportant des sommes rondelettes à la famille du caporal qui peut ainsi continuer son action en vue d'obtenir son élargissement.Si plagiaires il y a, ce sont ceux qui ont décidé la publication du récit en qualité de texte original.
Comment un texte plagié a-t-il pu rencontrer un tel succès? Là est la véritable question.
Il semble que d'emblée, ce texte ait acquis un caractère sacré, en raison de sa relation à la vie d'un soldat prisonnier qui l'avait écrit à un âge d'innocence. D'où la mise en veilleuse de l'esprit critique et le silence de l'auteure véritable qui dit avant été "l'otage littéraire" de la famille Shalit pendant quatre ans. C'est ce qu'elle dit, du moins. Peut-être avait-elle simplement vu au départ cette publication d'un oeil indifférent voire avec une certaine sympathie. Le succès du livre, et donc les revenus qu'il a générés se sont alors chargés de l'aider à évoluer dans sa position.
Le plagiat n'est de toutes façons pas de nature à choquer dans ce pays, l'entité sioniste, qui plagie tout: la cuisine palestinienne, la musique russe, le couscous... Et qui par dessus le marché se fait passer pour le peuple autochtone de Palestine.
Le soldat Israélien capturé accusé de plagiat
par Catrina Stewart, The Independent (UK) 8 mai 2010 traduit de l'anglais par Djazaïri
Une écrivain Israélienne poursuit en justice la famille d'un soldat détenu par les militants islamiques dans la bande de Gaza au motif qu'il aurait plagié un de ses livres.
Shelly Elkayam veut les droits d'auteurs qui découlent des ventes de When the Shark and the Fish Fist Met [Quand le requin et le poisson se sont rencontrés pour la première fois], un récit écrit par le caporal Gilad Shalit à l'âge de onze ans et publié après sa capture il y a quatre ans.
"L'histoire écrite par Shalit l'a été par moi," a déclaré Mlle Elkayam à la radio de l'armée israélienne. "J'ai été l'otage littéraire de la famille Shalit pendant quatre ans."
Shalit avait été capturé pendant un raid transfrontalier mené par trois organisations islamiques, dont le Hamas, en juin 2006 et emmené dans la bande de Gaza, le minuscule territoire côtier contrôlé par le Hamas.
Son maître d'école avait exhumé le récit d'enfance du caporal Shalit après sa capture, et il a depuis été publié 17 fois et en plusieurs langues. La famille du caporal Shalit a admis que l'histoire avait été inspirée par Elkayam, mais affirme que le texte comporte des différences très importantes.
Elkayam affirme de son côté qu'il n'y a eu que des "changements superficiels" par rapport à son propre livre When the Snake and the Mouse First Met [Quand le serpent et la souris se sont rencontrés pour la première fois].
"Ils persistent à voler les droits d'auteur de mon livre qui avait été un best-seller dès sa publication jusqu'à la parution de celui de Gilad," affirme Mlle Elkayam. "Tout comme c'est son droit d'être libéré, j'ai droit à la protection de mes droits d'auteur."
Noam Shalit, le père du caporal Shalit, déclare que la famille était au courant des allégations mais n'était pas personnellement impliquée dans la publication du livre,rapporte le site web Israel's news1.
Dans les 350 mots de l'histoire du caporal Shalit, un poisson et un requin deviennent amis pour jouer à cache cache; mais leurs parents les préviennent de rester à distance l'un de l'autre. Ils surmontent néanmoins leur animosité naturelle pour devenir amis et vivre en paix.
Les parents du caporal Shalit, qui font inlassablement campagne pour sa libération, se sont servis de cette histoire pour maintenir éveillée l'attention de l'opinion israélienne sur son sort, et tous les revenus qu'elle génère sont versés pour la campagne en vue de sa libération.
La plainte d'Elkayam a peu de chances de lui attirer la sympathie de nombreux Israéliens qui ont été saisis de stupeur par le sort du caporal Shalit. Ils sont nombreux à soutenir sa libération à n'importe quel prix, plaçant les autorités israéliennes sous une forte pression à l'intérieur du pays pour obtenir sa libération.
Hamas cherche à l'échanger contre 1 000 prisonniers palestiniens détenus dans des prisons israéliennes.
Le récit incriminé aurait été écrit par le caporal, le plus célèbre des Français servant une armée étrangère, alors qu'il avait onze ans et il semble être calqué d'un livre pour enfants à succès.
Difficile donc de parler de plagiat dès lors qu'il s'agit d'une adaptation par un enfant d'un texte bien connu des jeunes de son âge; d'autant que le récit écrit par le caporal Gilad Shalit n'avait aucune vocation à être publié un jour.
Pourtant il a été publié, devenant un succès international et rapportant des sommes rondelettes à la famille du caporal qui peut ainsi continuer son action en vue d'obtenir son élargissement.Si plagiaires il y a, ce sont ceux qui ont décidé la publication du récit en qualité de texte original.
Comment un texte plagié a-t-il pu rencontrer un tel succès? Là est la véritable question.
Il semble que d'emblée, ce texte ait acquis un caractère sacré, en raison de sa relation à la vie d'un soldat prisonnier qui l'avait écrit à un âge d'innocence. D'où la mise en veilleuse de l'esprit critique et le silence de l'auteure véritable qui dit avant été "l'otage littéraire" de la famille Shalit pendant quatre ans. C'est ce qu'elle dit, du moins. Peut-être avait-elle simplement vu au départ cette publication d'un oeil indifférent voire avec une certaine sympathie. Le succès du livre, et donc les revenus qu'il a générés se sont alors chargés de l'aider à évoluer dans sa position.
Le plagiat n'est de toutes façons pas de nature à choquer dans ce pays, l'entité sioniste, qui plagie tout: la cuisine palestinienne, la musique russe, le couscous... Et qui par dessus le marché se fait passer pour le peuple autochtone de Palestine.
Le soldat Israélien capturé accusé de plagiat
par Catrina Stewart, The Independent (UK) 8 mai 2010 traduit de l'anglais par Djazaïri
Une écrivain Israélienne poursuit en justice la famille d'un soldat détenu par les militants islamiques dans la bande de Gaza au motif qu'il aurait plagié un de ses livres.
Shelly Elkayam veut les droits d'auteurs qui découlent des ventes de When the Shark and the Fish Fist Met [Quand le requin et le poisson se sont rencontrés pour la première fois], un récit écrit par le caporal Gilad Shalit à l'âge de onze ans et publié après sa capture il y a quatre ans.
"L'histoire écrite par Shalit l'a été par moi," a déclaré Mlle Elkayam à la radio de l'armée israélienne. "J'ai été l'otage littéraire de la famille Shalit pendant quatre ans."
Shalit avait été capturé pendant un raid transfrontalier mené par trois organisations islamiques, dont le Hamas, en juin 2006 et emmené dans la bande de Gaza, le minuscule territoire côtier contrôlé par le Hamas.
Son maître d'école avait exhumé le récit d'enfance du caporal Shalit après sa capture, et il a depuis été publié 17 fois et en plusieurs langues. La famille du caporal Shalit a admis que l'histoire avait été inspirée par Elkayam, mais affirme que le texte comporte des différences très importantes.
Elkayam affirme de son côté qu'il n'y a eu que des "changements superficiels" par rapport à son propre livre When the Snake and the Mouse First Met [Quand le serpent et la souris se sont rencontrés pour la première fois].
"Ils persistent à voler les droits d'auteur de mon livre qui avait été un best-seller dès sa publication jusqu'à la parution de celui de Gilad," affirme Mlle Elkayam. "Tout comme c'est son droit d'être libéré, j'ai droit à la protection de mes droits d'auteur."
Noam Shalit, le père du caporal Shalit, déclare que la famille était au courant des allégations mais n'était pas personnellement impliquée dans la publication du livre,rapporte le site web Israel's news1.
Dans les 350 mots de l'histoire du caporal Shalit, un poisson et un requin deviennent amis pour jouer à cache cache; mais leurs parents les préviennent de rester à distance l'un de l'autre. Ils surmontent néanmoins leur animosité naturelle pour devenir amis et vivre en paix.
Les parents du caporal Shalit, qui font inlassablement campagne pour sa libération, se sont servis de cette histoire pour maintenir éveillée l'attention de l'opinion israélienne sur son sort, et tous les revenus qu'elle génère sont versés pour la campagne en vue de sa libération.
La plainte d'Elkayam a peu de chances de lui attirer la sympathie de nombreux Israéliens qui ont été saisis de stupeur par le sort du caporal Shalit. Ils sont nombreux à soutenir sa libération à n'importe quel prix, plaçant les autorités israéliennes sous une forte pression à l'intérieur du pays pour obtenir sa libération.
Hamas cherche à l'échanger contre 1 000 prisonniers palestiniens détenus dans des prisons israéliennes.
Libellés : Gilad Shalit, plagiat, Shelly Elkayam, sionisme
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