Trafic d'organes: après celui du quotidien suédois, nouvel article antisémite dans un journal du Minnesota
La diplomatie sioniste est dans tous ses états parce qu’ Aftonbladet, un quotidien suédois a publié un article sur de présumés vols d’organes commis sur des Palestiniens par les médecins de la vaillante armée sioniste . Qui a dit que l’armée sioniste était la plus morale du monde ?
Ah oui, les sionistes eux-mêmes ! Manquent pas de culot.
Bref, les autorités sionistes s’inscrivent en faux contre la teneur de l’article et lancent l’accusation d’antisémitisme, celle qui est supposée clouer le bec à tout un chacun. Car, osons poser la question : qu’a fait la Suède pendant la seconde guerre mondiale ? N’a-t-elle pas refusé d’intervenir contre le génocide nazi ?
Il est vrai que la Suède, comme la Suisse où l’Espagne, était restée neutre pendant cette guerre, ce qui lui a permis comme aux autres pays cités d’accueillir de nombreuses personnes, dont des Juifs, qui fuyaient la persécution.
Et que les sionistes n’ont pas attendu cet article pour rappeler aux pays scandinaves, et pas seulement à la Suède, qu’ils étaient des repaires d’antisémites.
Au début tout a failli bien se passer, puisque l’ambassadrice suédoise auprès du régime sioniste s’est empressée de condamner l’article.
Et puis patatras, le gouvernement suédois a désavoué son ambassadrice en refusant de condamner l’article au nom de la liberté de la presse : pourquoi, dit-il en substance vouloir que le gouvernement suédois condamne cet article alors qu’il n’a pas condamné les caricatures de Mahomet ?
Décidément les temps changent pour l’entité sioniste et même l’Occident, malgré toute sa bienveillance, a du mal à accepter sans broncher toutes les turpitudes de son greffon au Moyen orient.
Ah oui, les sionistes eux-mêmes ! Manquent pas de culot.
Bref, les autorités sionistes s’inscrivent en faux contre la teneur de l’article et lancent l’accusation d’antisémitisme, celle qui est supposée clouer le bec à tout un chacun. Car, osons poser la question : qu’a fait la Suède pendant la seconde guerre mondiale ? N’a-t-elle pas refusé d’intervenir contre le génocide nazi ?
Il est vrai que la Suède, comme la Suisse où l’Espagne, était restée neutre pendant cette guerre, ce qui lui a permis comme aux autres pays cités d’accueillir de nombreuses personnes, dont des Juifs, qui fuyaient la persécution.
Et que les sionistes n’ont pas attendu cet article pour rappeler aux pays scandinaves, et pas seulement à la Suède, qu’ils étaient des repaires d’antisémites.
Au début tout a failli bien se passer, puisque l’ambassadrice suédoise auprès du régime sioniste s’est empressée de condamner l’article.
Et puis patatras, le gouvernement suédois a désavoué son ambassadrice en refusant de condamner l’article au nom de la liberté de la presse : pourquoi, dit-il en substance vouloir que le gouvernement suédois condamne cet article alors qu’il n’a pas condamné les caricatures de Mahomet ?
Décidément les temps changent pour l’entité sioniste et même l’Occident, malgré toute sa bienveillance, a du mal à accepter sans broncher toutes les turpitudes de son greffon au Moyen orient.
Nous avions déjà évoqué en détail la question des sionistes et du trafic d’organes, entre autres par prélèvement sur des corps de Palestiniens. Un quotidien des Etats Unis revient sur le dossier du lien entre le trafic d’organes et l’entité sioniste. L’article apporte quelques informations même si l’enquête n’est pas fouillée et si l’auteur fait de son mieux pour atténuer le caractère franchement criminel des agissements des pourvoyeurs d’organes.
On y verra avec amusement que l’auteur confond allègrement loi halachique et loi des Etats-Unis. On s’étonnera de voir le fondateur d’une organisation pour le don d’organes conforme à la halacha porter un jugement complaisant sur des trafiquants d’organes et refuser de s’exprimer sur Rosenbaum, celui qui vient de se faire pincer par le FBI.
Et le plus étonnant, c’est que l’article tout entier est focalisé sur des organes trafiqués à partir de l’entité sioniste, par des ressortissants de l’entité sioniste ou pour de riches clients Juifs aux Etats Unis.
On y verra avec amusement que l’auteur confond allègrement loi halachique et loi des Etats-Unis. On s’étonnera de voir le fondateur d’une organisation pour le don d’organes conforme à la halacha porter un jugement complaisant sur des trafiquants d’organes et refuser de s’exprimer sur Rosenbaum, celui qui vient de se faire pincer par le FBI.
Et le plus étonnant, c’est que l’article tout entier est focalisé sur des organes trafiqués à partir de l’entité sioniste, par des ressortissants de l’entité sioniste ou pour de riches clients Juifs aux Etats Unis.
Question pour l’instant sans réponse : pourquoi ?
Selon un expert, des notables Newyorkais ont acheté des reins en passant par des intermédiaires basés en Israël
Par DAVID B. CARUSO , (AP) Star Tribune (USA) 20 août 2009 traduit de l’anglais par Djazaïri
New York - Pour la plupart des milliers d’Américains qui ont besoin d’un rein de rechange, il n’y a que deux solutions : persuader un parent ou ami de le donner ou s’inscrire sur la liste d’attente pour une greffe.
Cependant, certains Newyorkais disposant des bonnes relations et de beaucoup d’argent s’avèrent avoir exploré une troisième option.
«J’ai rencontré beaucoup, beaucoup de gens qui m’ont avoué avoir acheté un rein. Des notables Newyorkais. Et ça arrive ici même en Amérique,» affirme Robert Berman, fondateur et directeur de la Halachic Organ Donor Society (société de d’on d’organe en conformité avec la loi talmudique).
Berman dirige une organisation qui encourage les Juifs à devenir donneurs d’organes en toute légalité – sans rétribution – mais il dit avoir souvent été approché par des gens qui avaient besoin d’un rein de manière suffisamment urgente pour envisager de payer pour.
Ils lui demandent même parfois de les aider à trouver un fournisseur – un intermédiaire qui arrangera une transplantation avec un donneur rémunéré.
«J’ai rencontré beaucoup, beaucoup de gens qui m’ont avoué avoir acheté un rein. Des notables Newyorkais. Et ça arrive ici même en Amérique,» affirme Robert Berman, fondateur et directeur de la Halachic Organ Donor Society (société de d’on d’organe en conformité avec la loi talmudique).
Berman dirige une organisation qui encourage les Juifs à devenir donneurs d’organes en toute légalité – sans rétribution – mais il dit avoir souvent été approché par des gens qui avaient besoin d’un rein de manière suffisamment urgente pour envisager de payer pour.
Ils lui demandent même parfois de les aider à trouver un fournisseur – un intermédiaire qui arrangera une transplantation avec un donneur rémunéré.
Des experts et les autorités judiciaires indiquent qu’une poignée de ces «matchmakers» (ceux qui trouvent les donneurs compatibles) d’organes établis en Israël ont recruté des centaines, peut-être des milliers de personnes pour vendre volontairement leurs reins à des patients aisés, dont certains Américains.
Leur travail s’est fait surtout à l’étranger dans des hôpitaux de pays comme l’Afrique du Sud, la Turquie et les Philippines, mais les spécialistes affirment que ces prestataires ont arrangé des transplantations aux Etats Unis aussi.
L’un de ces «matchmakers» joue un rôle dans l’histoire relatée par Nick Rosen, un homme qui réside en Israël et a réalisé une vidéo sur son don d’un rein à un homme de Long Island en 2005.
Rosen a indiqué à l’Associated Press avoir été payé 20 000 dollars pour la transplantation dans le cadre d’une vente gérée par un courtier en organes en Israël qui l’avait recruté par une annonce parue dans la presse.
Il explique que l’intermédiaire avait organisé une série de tests pour confirmer la compatibilité de son rein, puis l’avait mis dans un avion en direction les USA pour une opération dans un hôpital de la ville de new York. Il a filmé en vidéo certaines de ses rencontres avec les intermédiaires, les médecins et le receveur du rein.
Payer pour un rein est illégal aux Etats Unis et Berman explique que quand des gens sollicitent son aide pour entrer en contact avec des fournisseurs d’organes, il refuse toujours. Cependant, il est favorable à la légalisation de certaines incitations financières pour les donneurs d’organes et dit être incapable de condamner les intermédiaires qui travaillent pour sauver des vies.
«J’ai rencontré certains intermédiaires et ce ne sont pas de mauvaises gens. Ils veulent aider d’autres personnes et ils veulent une compensation adéquate pour le risque d’incarcération encouru,» dit-il.
Le risque légal de la participation à un commerce international de reins a été mis en lumière en juillet dernier avec l’arrestation de l’entrepreneur de Brooklyn Levy Itzhak Rosenbaum.
Les procureurs fédéraux ont indiqué que Rosenbaum était tombé dans une souricière où le FBI lui proposait d’arranger un don de rein contre 160 000 dollars. Cet arrangement aurait présumément impliqué également un donneur venant d’Israël pour une transplantation aux USA.
Dans une conversation enregistrée par le FBI, Rosenbaum se vantait d’avoir effectué de genre de travail de «matchmaker» depuis dix ans et d’avoir négocié de nombreuses transplantations réussies, dont une seulement quelques semaines avant son arrestation.
Berman refuse de parler du cas de Rosenbaum mais déclare : «si les gens pensent que c’est la seule personne dans les parages à faire ça, ils ont tort.» Rosenbaum n’a pas dit comment il allait plaider et son avocat a refusé de s’exprimer après l’arrestation.
En fait, si l’affaire Rosenbaum est apparemment le premier cas où quelqu’un a été accusé d’arranger des transplantations sur le sol des Etats Unis, un certain nombre d’opérations similaires ont été stoppées ailleurs par des autorités judiciaires ces dernières années.
En 2003, un groupe de fournisseurs d’organes israéliens avait été accusé d’avoir recruté une centaine de Brésiliens pauvres pour qu’ils donnent leurs organes à des tarifs allant de 3 000 à 20 000 dollars. Les transplantations étaient effectuées dans un hôpital en Afrique du Sud.
En été 2007, la police avait accusé neuf personnes d’avoir payé des donneurs Israéliens 30 000 dollars chacun pour qu’ils donnent un rein. Les opérations auraient eu lieu en Ukraine. Des enquêteurs en Israël disaient avoir commencé à enquêter sur le réseau quand une des donneuses s’est plainte de ne pas avoir été payée.
En 2003, un groupe de fournisseurs d’organes israéliens avait été accusé d’avoir recruté une centaine de Brésiliens pauvres pour qu’ils donnent leurs organes à des tarifs allant de 3 000 à 20 000 dollars. Les transplantations étaient effectuées dans un hôpital en Afrique du Sud.
En été 2007, la police avait accusé neuf personnes d’avoir payé des donneurs Israéliens 30 000 dollars chacun pour qu’ils donnent un rein. Les opérations auraient eu lieu en Ukraine. Des enquêteurs en Israël disaient avoir commencé à enquêter sur le réseau quand une des donneuses s’est plainte de ne pas avoir été payée.
Nancy Scheper-Hughes, une anthropologue médicale de l’université de Berkeley en Californie, qui enquête sur le trafic d’organes depuis le milieu des années 1990, affirme que ces actions policières ont changé la donne.
«Ce réseau avait vraiment atteint son pic d’activité quelques années auparavant, » dit-elle. «Ca continue, mais c’est devenu beaucoup plus difficile maintenant.»
A un moment donné, les fournisseurs se sont multipliés en Israël qui était devenue le foyer de ce genre d’opérations, en partie parce que ce pays a un des taux les plus bas de don d’organes du monde occidental.
La plupart des dons d’organes proviennent des morts et non des vivants. Si les autorités religieuses juives considèrent généralement que le don d’organes est permis s’il sauve une vie, le problème est compliqué par une série de restrictions dont certaines traitant de la manière dont le défunt doit être manipulé.
«Ce réseau avait vraiment atteint son pic d’activité quelques années auparavant, » dit-elle. «Ca continue, mais c’est devenu beaucoup plus difficile maintenant.»
A un moment donné, les fournisseurs se sont multipliés en Israël qui était devenue le foyer de ce genre d’opérations, en partie parce que ce pays a un des taux les plus bas de don d’organes du monde occidental.
La plupart des dons d’organes proviennent des morts et non des vivants. Si les autorités religieuses juives considèrent généralement que le don d’organes est permis s’il sauve une vie, le problème est compliqué par une série de restrictions dont certaines traitant de la manière dont le défunt doit être manipulé.
Avec si peu de juifs d’Israël pour devenir donneurs d’organes à cause de préoccupations religieuses, un marché a fleuri pour les donneurs rémunérés, dit-elle. Et dans la mesure où le système de santé israélien rembourse ses citoyens pour les transplantations effectuées à l’étranger, les intermédiaires pouvaient librement arranger des transplantations dans des hôpitaux dont les médecins ne posent pas trop de questions.
Certains plaçaient ouvertement des annonces dans les journaux, à la recherche de personnes acceptant de voyager pour donner un rein. D’autres essayaient même de conclure des accords avec des hôpitaux, leur garantissant un certain volume de patients à transplanter en échange d’un accès aux blocs opératoires.
Les actions de répression et de récents changements dans la loi israélienne ont rendu bien plus difficile la poursuite de leurs activités par les intermédiaires, explique Scheper-Hughes.
Aux USA, dit-elle, il y a encore des gens qui acceptent de l’argent pour donner un rein, mais les transactions sont le plus souvent organisées directement entre donneurs et receveus qui se rencontrent à travers des sites web comme Craigslist ou Matchingdonors.com.
«Rosenbaum n’était pas la pointe émergée de l’iceberg, mais la fin de quelque chose,» dit-elle.
Certains plaçaient ouvertement des annonces dans les journaux, à la recherche de personnes acceptant de voyager pour donner un rein. D’autres essayaient même de conclure des accords avec des hôpitaux, leur garantissant un certain volume de patients à transplanter en échange d’un accès aux blocs opératoires.
Les actions de répression et de récents changements dans la loi israélienne ont rendu bien plus difficile la poursuite de leurs activités par les intermédiaires, explique Scheper-Hughes.
Aux USA, dit-elle, il y a encore des gens qui acceptent de l’argent pour donner un rein, mais les transactions sont le plus souvent organisées directement entre donneurs et receveus qui se rencontrent à travers des sites web comme Craigslist ou Matchingdonors.com.
«Rosenbaum n’était pas la pointe émergée de l’iceberg, mais la fin de quelque chose,» dit-elle.
Une chose n’a pas changé : le besoin de donneurs. Plus de 100 000 personnes aux Etats Unis sont sur des listes d’attente pour une transplantation d’organe selon l’ United Network for Organ Sharing. L’an dernier, 4 540 sont morts dans l’attente d’un rein.
Libellés : Aftonbladet, antisémitisme, Berman, halacha, Nancy Scheper-Hughes, New York, Nick Rosen, sionisme, Suède, trafic d'organes, Yitzhak Rosenbaum
5 Comments:
bonjour et bon ramdan djazairi..
merci pour ton travail remarquable et de tes analyses objectives.
continuez des petits ruisseaux naitront les grands fleuves.
qui emporteront cette calamite mondiale qu'est le sionisme.
Il ne vous suffit pas d'être antiisraélien, il vous faut encore colporter des relans de vieilles accusations de crime rituel.Vous auriez pu pour une information complète donner la réaction de l'ambassadeur de Suède en Israël, ambassadeur qui n'est pas juif
Ouai, c'est vrai, les articles sont bons et intéressants !!! Merci pour le boulot !!!
A l'attention de philippe: c'est vous qui parlez de crime rituel là où le journal américain parle de trafic d'organes. Question: que vient faire le crime rituel là dedans?
Ce qui est crime dans un état dit de civilisation n'est que trait d'audace dans un état de civilisation moins avancé,et peut-etre est-ce une action louable dans un temps de barbarie.(Prosper Mérimée)
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