Haro sur Chavez l'antisémite!
La profanation d'une synagogue de Caracas a suscité des condamnations de par le monde. S'il est légitime de s'indigner quand un lieu de culte est profané, on aimerait cependant que les lieux de culte de toutes les confessions soient logés à la même enseigne.
La profanation de ce lieu de culte à Caracas avait la particularité de toucher un lieu de culte juif. Or, il faut savoir que la moindre profanation d'un lieu de culte juif (ne serait-ce que la présence de quelques graffiti), devient rapidement une information suffisamment importante pour faire le tour du monde, au moins via la presse anglophone. Reconnaissons que l'Anti Defamation League, la LICRA et d'autres organismes de ce genre font un excellent travail. Rien de tel pour l'attaque contre la nonciature apostolique dans la capitale vénézuélienne, mise également sur le dos des partisans de M. Chavez (information qui bénéficie d'une couverture médiatique nettement moins ample que celle concernant la synagogue).
L'autre particularité de cette profanation est d'être intervenue à Caracas, le siège du pouvoir d'Hugo Chavez, un président qui incarne une orientation de gauche en Amérique latine et donc objet de l'hostilité des "démocraties" libérales, Etats-Unis en tête.
Justement, cette profanation a été l'occasion de stigmatiser une fois de plus l'antisémitisme supposé du président Vénézuelien. Après tout n'a-t-il pas expulsé l'ambassadeur de l'entité sioniste à Caracas, donnant ainsi un feu vert à l'antisémitisme?
Qu'importe si ce dernier a condamné cet acte...
Seulement voilà, M. Chavez ne s'est pas contenté de condamner; il a également demandé à ses services de sécurité de faire diligence pour retrouver les coupables.
Et les coupables ont été interpellés comme le signale la presse française.
Sauf que la presse française ne donne aucune indication complète sur leurs pedigrees.
Or, si ce sont bien onze policiers et quatre civils qui onté été interpellés, ces civils ne sont autres que les vigiles chargés de la sécurité de la synagogue. Un seul, selon la BBC, plusieurs selon la presse vénézuelienne qui apporte les précisions suivantes:
Il s'agirait donc d'un délit de droit commun (outre les dégradations, il y a eu des vols) maquillé en agression antisémite.
Et ne nous posons pas de questions sur la confession religieuse des vigiles.
La profanation de ce lieu de culte à Caracas avait la particularité de toucher un lieu de culte juif. Or, il faut savoir que la moindre profanation d'un lieu de culte juif (ne serait-ce que la présence de quelques graffiti), devient rapidement une information suffisamment importante pour faire le tour du monde, au moins via la presse anglophone. Reconnaissons que l'Anti Defamation League, la LICRA et d'autres organismes de ce genre font un excellent travail. Rien de tel pour l'attaque contre la nonciature apostolique dans la capitale vénézuélienne, mise également sur le dos des partisans de M. Chavez (information qui bénéficie d'une couverture médiatique nettement moins ample que celle concernant la synagogue).
L'autre particularité de cette profanation est d'être intervenue à Caracas, le siège du pouvoir d'Hugo Chavez, un président qui incarne une orientation de gauche en Amérique latine et donc objet de l'hostilité des "démocraties" libérales, Etats-Unis en tête.
Justement, cette profanation a été l'occasion de stigmatiser une fois de plus l'antisémitisme supposé du président Vénézuelien. Après tout n'a-t-il pas expulsé l'ambassadeur de l'entité sioniste à Caracas, donnant ainsi un feu vert à l'antisémitisme?
Qu'importe si ce dernier a condamné cet acte...
Seulement voilà, M. Chavez ne s'est pas contenté de condamner; il a également demandé à ses services de sécurité de faire diligence pour retrouver les coupables.
Et les coupables ont été interpellés comme le signale la presse française.
Sauf que la presse française ne donne aucune indication complète sur leurs pedigrees.
Or, si ce sont bien onze policiers et quatre civils qui onté été interpellés, ces civils ne sont autres que les vigiles chargés de la sécurité de la synagogue. Un seul, selon la BBC, plusieurs selon la presse vénézuelienne qui apporte les précisions suivantes:
Les enquêteurs "ont établi que le détective dont l'implication est présumée avait travaillé à la protection d'un rabbin. Ils assurent que cet agent avait demandé à son protégé l'argent que ce dernier lui devait, en vain. C'est à partir de là qu'il y a eu conflit entre eux, ce qui a motivé l'organisation de l'attaque, avec la complicité supposée des vigiles qui ont été arrêtés".
Il s'agirait donc d'un délit de droit commun (outre les dégradations, il y a eu des vols) maquillé en agression antisémite.
Et ne nous posons pas de questions sur la confession religieuse des vigiles.
Libellés : antisémitisme, Caracas, Hugo Chavez, nonciature apostolique, synagogue, vénézuela
2 Comments:
Cher Monsieur ,
Je suis révolté quand un agité tag une mosquée et je ne vais pas chercher "le droit commun " dans ce type d'actes , mais de l'islamophobie pure et dure.
Au Vénézuela , la police est présente partout !!!
l'attaque de ce temple israelite n'est pas le fait de "voyous" mais de nérvis gouvernementaux.
7 policiers et 4 "civils" (policiers?) ont pris part et ont été arrétés sur ordre .
Seront-ils jugés ? J'en doute !
Chavez est partisan d'une justice expeditive .
http://www.france24.com/fr/20090209-venuzuela-caracas-synagogue-profanation-onze-personnes-arretees-attaque
Mr Jousselin M.
ce qui dérange tant les impèrialo-sionistes,c'est qu au vénézuèla,les pauvres,et les pauvres parmis les plus pauvres,VOTENT CHAVEZ!!!!!!!!
et ca;c est pire que tout!!!!
seulement voilà,chavez,est de cès populations pauvres..............
or,chavez lui mème,vient d'une famille pauvre.
10ans qu'il tiènt,vous continuerez de l insulter,il tiendra encore...
au vénézuèla,ce ne sont pas les lobbys scélérats qui commandent,MAIS LE PEUPLE!!!!!!!!!!
yankees,N.O!
malik.ali.farkan.
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